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Kitefoil aux Jeux Olympiques Paris 2024
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Kitefoil aux Jeux Olympiques Paris 2024

La huitième journée des Jeux Olympiques à Marseille 2024 a été marquée par des conditions difficiles en kite foil.
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Les Kitefoileurs des Jeux Olympiques Paris 2024 ont fait leurs débuts olympiques avec des performances impressionnantes. Pour commencer, Lauriane Nolot se distingue en tête chez les femmes, tandis qu’Axel Mazella se classe 7ème chez les hommes. Ensuite, Louise Cervera maintient sa position en ILCA 6. Tandis que Jean-Baptiste Bernaz a connu des difficultés en ILCA 7, rétrogradant à la 12ème place.

Performances féminines aux Jeux Olympiques Paris 2024

Lauriane Nolot a brillé lors de cette première journée, malgré des conditions de vent et de mer difficiles, terminant en tête après quatre courses. Sa rivale, Eleanor Aldridge, est à égalité de points, promettant une concurrence intense.

Lauriane Nolot : « J’étais à moitié en larmes ce matin quand je suis arrivée sur la plage et que tout le monde a crié pour nous. Je ne m’attendais tellement pas à ça, c’était incroyable. Vraiment, c’était trop ouf de partager ça avec Axel. Et sur l’eau, c’était pareil, plein d’émotions parce que les conditions étaient très compliquées. Il y a du « fight » sur l’eau, toutes les filles sont au taquet. J’ai réussi à assurer cette première journée. Et demain, on va arriver encore plus fort pour essayer de faire encore mieux !»

Performances masculines aux Jeux Olympiques Paris 2024

Les hommes ont enregistré des pointes à près de 35 nœuds, avec Axel Mazella en 7e position après avoir remporté la dernière course du jour. Le classement reste serré avec les sept premiers se tenant en dix points.

Axel Mazella : « On va tellement à de grandes vitesses que les bouées sont vraiment placées très loin. Et on a du mal à les voir, surtout qu’on avait le soleil en plein axe. On part un peu à la Chasse au Trésor ! Niveau sensation c’est très particulier de voir autant de public. D’être aussi soutenu, ça met un peu plus la pression que d’habitude. Sur l’eau, on a une flotte qui est vraiment dense. On sent que le niveau est super haut, il n’y a personne qui veut lâcher le morceau. »

Source : Banque Populaire

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